ZERO Skateboards, Cold War : Jamie Thomas & James Brockman

Et boum, la grosse vidéo de cette fin d’année 2013 vient enfin pointer le bout de son nez:

Après Thrill Of It All (1997), Misled Youth (1999), Dying To Live (2002), New Blood (2005) et Strange World (2009), voici en exlu VIDA Skate (et Thrasher Magazine) le tout nouveau film signé ZERO Skateboards, « Cold War ». 

Quatre ans que l’on attend ça ! Car ZERO a toujours eu le chic pour nous épater, voir carrément nous scotcher le cul au fond du siège.

La marque de fabrique ? DES GROS HAMMERS DE PSYCHOPATHES.
Principe de recrutement ? PAS DE CERVEAU.

Dans nos tendres années, être un « ZERO BOY » signifiait se jeter sur tout, n’importe où, sans réfléchir aux conséquences pour son pauvre petit corps fragile. Forcément, cela impliquait de multiples fractures et autres problèmes techniques passagers, mais aussi de gros moments de bonheur, où t’as vraiment l’impression d’avoir repousser tes limites physiques et mentales …

Allez, trêve de bavardages, on attaque fort avec les deux premières parts de la vidéo:

La première n’est autre que celle du « CHIEF », Jamie Thomas, sans qui ZERO n’existerait pas. A près de 40 ballets (et ouais), Thomas continue de prendre des boites comme un kids. Bon, les lendemains doivent être plus douloureux qu’à l’époque, mais le niveau d’engagement n’a pas changé d’un cil. Du lourd, en toutes circonstances. Par contre, désolé les amis, mais il y a fort à parier qu’il s’agisse ici de la dernière part de ser Thomas … PROFITEZ EN D’AUTANT PLUS !

On enchaîne avec la quintessence même de ce dont on vous parlait plus haut: James Brockman. Ce type n’a pas de cerveau. Ou bien il n’a peur de rien, ce qui revient à peu près au même.
Brockman frappe très très très fort en démontrant l’étendu de sa folie, n’hésitant pas pas à faire des back 5-0 perché sur des rails de 5 mètres de haut, ou des footplants sur des gros sets de marches.

Plus violent qu’un coup de pied dans les dents !